BIENVENUE
De Vous à moi...
Nous nous nourrissons mutuellement par le lien de la pratique du Tai Ji Quan
Le Tai Ji Quan est un art de paix, avant même d’être un art martial.
Et puisque la paix est dans mon cœur, je la partage dans la pratique…
Cette intention m’amène ici, devant vous. Partageons les Trésors du Tai Ji Quan.
Ky Van
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Enseignante du Tai Ji Quan depuis 2008
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4ème Duan
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Diplômée CQP Arts Martiaux Chinois
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Certification « Sport et Santé »
QUELQUES MOTS SUR LE TAI JI QUAN
TAI JI QUAN ?
Ma Définition...
"Tai Ji Quan" est le nom donné à une pratique martiale chinoise, dite "interne".
Elle est principalement basée sur des enchainements de mouvements continus et lents appelés « formes ».
C'est la définition classique.
Pour ma part, une des définitions du Tai Ji Quan pourrait être celle-ci :
"C’est l’apprentissage d’un Art Martial Pacifique, s'appuyant sur une structure corporelle précise et une écoute sensitive subtile."
"Martial" veut dire combattre, GUERRE. Pacifique veut dire "PAIX". Cet oxymore est l’illustration parfaite du Tai Ji Quan dans toutes ses formes, ainsi que dans ses applications martiales.
En effet, nous apprenons à travers la pratique de cet art que ce qui s’oppose devient complémentaire : Ici est la notion de paix partant de la guerre. Et l'Art contient l'idée de création. "Création de Paix" pourrait convenir pour illustrer le Tai Ji Quan.
C’est l’Art Suprême d’être en Paix en son Centre. Finalement, l’Art Suprême d’être exactement SOI. © par Ky Van KALITKA
LA SANTE
Prendre Soin...
« Mon Docteur me recommande le Tai Chi Chuan ». Comment un art martial pourrait-il être bon pour la santé ?
Nous avons l’image de projections brutales, de coups de poing, de coups de pieds, d’attaques agressives avec ou sans arme lorsqu’on parle « d’Arts Martiaux ».
Il serait juste de ne pas confondre « Sports de Combats et Arts Martiaux ».
Dans l’Art, il n’y a pas de notion de compétition. Il y a une notion de Savoir Faire et de Création. Alors que le Sport de combat tend à détruire l’adversaire, le Tai Ji Quan ne détruit que le conflit. Et ce, que ce soit avec autrui ou avec soi-même. Et c’est là son utilité pour la santé.
Bruce Lee, dans un de ses rares interviews sur le sujet du Tai Ji Quan, a dit, je cite : « Il est bon de trouver des pratiquants qui, pour une fois, respectent et prennent soin de leur corps. »
Et effectivement, le premier apprentissage du Tai Ji Quan est la structure et l’utilisation correcte du corps. Tout ceci calmement, avec une douce attention et la lenteur des gestes qui en résulte harmonise les fluides internes. Nous entrons dans le domaine de la médecine chinoise qui parle alors de méridiens énergétiques, trop complexe pour être développé ici.
La notion à retenir est que l'enchainement du Tai Ji Quan propose, que l’on en soit conscient ou non, une régularisation qui amène vers un nouvel équilibre, une nouvelle harmonie interne. © par Ky Van KALITKA
RELATIONNEL
ÊTRE CLAIR
La première relation que la pratique installe est celle d’être avec Soi-même :
Apprendre à ressentir en soi les tensions, les disharmonies, les mouvements internes.
La deuxième relation est celle d'être avec le partenaire, à travers les applications martiales et le « tuishou » (l’échange de poussées des mains à deux).
Ces relations demandent une écoute attentive de Soi et de l’autre pour donner une réponse adéquate, à partir d’une intention claire. Cet échange passe par le geste corporel, puis vise l’intention, l’émotionnel. C’est l’apprentissage d'une communication authentique et sincère favorisant des relations saines.
Une fois expérimenté et approprié, cet apprentissage peut être étendu à toutes les relations sociales, voire, privées. Être clair en soi contribue à établir des relations lumineuses.
© par Ky Van KALITKA
EMOTIONNEL
Dissoudre de la peur
« Relax » est le mot d’ordre du Tai Ji Quan. L'efficacité dans cet Art Martial se trouve dans le relâchement. En effet, être souple permet la rapidité d'adaptation. Alors, relâcher les tensions du corps est primordial. Le corps et l’esprit sont intimement liés, ainsi, le relâchement des tensions du corps engendre celui de l'esprit. La sphère émotionnelle retrouve son harmonie.
Ensuite, comme tout Art Martial, cette pratique construit ou reconstruit la force intérieure, de laquelle émane la Confiance en Soi. Une personne émotionnellement solide est un essieu autour de laquelle peut tourner la vie harmonieusement, quelque soit sa vitesse. Une personne émotionnellement instable génère une roue instable autour d’elle.
La confiance en soi passe par un équilibre, d’abord physique. En effet, si vous n’avez pas d’équilibre sur vos jambes, vous êtes instable. Et instable, vous ne pouvez pas avoir confiance en vous. La pratique du Tai Ji Quan est tout d’abord un apprentissage d’équilibre. Une fois l’équilibre corporel installé, l’équilibre émotionnel peut se construire et la peur, petit à petit, se dissout.
Lorsque vous passez à un niveau avancé de la pratique, les applications martiales infusent des réflexes de défense efficaces. Cette capacité contribue à une attitude d’assurance qui instaure la confiance en soi. La peur n'est alors plus envahissante mais revient à sa juste place qui est la prudence. © par Ky Van KALITKA
Activité Physique
Entretenir
Il n’est plus à débattre que la sédentarité est mauvaise pour le corps, le moral et le social. La vie, c’est le mouvement. Pour avoir une vie saine, une pratique sportive est donc recommandée.
Le Tai Ji Quan est une activité physique qui convient à tous et de tout âge car elle est douce et adaptable, ludique et engageante. Son atout est l’autonomie. Vous n’avez pas forcément besoin de partenaire pour pratiquer : un bout de jardin, un ciel bleu, une brise de printemps et vous pouvez faire votre TJQ. En hiver, un bout de salon, voire un couloir, un petit espace suffit pour votre pratique. En été, vous pouvez participer à des stages ponctuels si vous avez un minimum de bagage technique, ce que je vous propose dans ces formations en ligne. © par Ky Van KALITKA
Mon corps, mon ami
« La douleur à mon articulation m’empêche de vivre pleinement. Je suis en surpoids, je suis trop petit, trop grand, trop vieux… J’ai mal partout, mon corps m’enquiquine. » Pour la plupart d’entre nous, le corps n’a jamais été notre pote. Au contraire, pour gérer tant bien que mal notre mental en constante demande, nous faisons de notre corps notre souffre douleur : Nous fumons, nous mangeons n’importe comment, nous nous alcoolisons, nous nous mettons en sédentarité, ou au contraire, nous le poussons jusqu’au bout de ses forces avec des compétitions, des sports extrêmes, des violences, etc… Nous esclavageons notre corps au profit d’un mental destructeur parce que difficilement satisfait.
La pratique du Tai Ji Quan nous ramène vers l’écoute de nos sensations internes, et par ce chemin, ouvre une nouvelle possibilité : Celle de faire de notre corps un vrai ami. Il n’est plus un fardeau à trainer ou le sac qui contient nos griefs (le mal a dit), mais il est notre compagnon de route, d’une fidélité inconditionnelle. C’est alors que grâce à lui que le mental se calme, se canalise et apprend à ne plus être insatisfait. Le mental en sourdine permet alors au cœur de s’exprimer… et voilà une autre aventure : Celle de découvrir son cœur, puisque la paix s’est installée entre mental et corps. Un homme qui connait son cœur connait alors l’Univers. Le Tai Ji Quan offre cet outil, il est à portée de main… Saisissez-le.
Mémoire, l’entretenir
L’Enchainement du Tai Ji Quan est une succession de mouvements précis. Pour l’apprendre, la mémoire non seulement intellectuelle est sollicitée, mais aussi la mémoire corporelle… et plus tard, la mémoire sensorielle. La mémoire émotionnelle sera aussi, dans un autre temps, nécessaire. Ainsi, quatre formes de mémoire sont mises en œuvre pour réussir l’apprentissage du Tai Ji Quan.
C’est un entrainement complet pour cet « organe » que nous avons souvent tendance à oublier, paradoxalement.
L’aspect spirituel de la pratique ne s’enseigne pas.
C’est une aventure que vous seul pouvez vivre selon les conditions réunies. Il n’est pas notifié qu’à l’instar de certaines pratiques méditatives, par exemple, Vipassana, vous entrez dans le domaine de la Spiritualité avec la pratique du Tai Ji Quan.
Il s’agit de conditions.
Si toutes les conditions sont là, vous pouvez choisir ou non de planter la graine de lotus.
Dans la pratique du Tai Ji Quan, tous les éléments sont présents pour mettre en place ces conditions. Il est donc question de choix de votre part… Si, par aventure, vous faisiez le choix de planter votre graine de lotus, nous pourrons alors, ensembles, en prendre soin jusqu’à sa sereine germination. © par Ky Van KALITKA
SPIRITUEL
Trouver son chemin...
